Marie Fabre vit à Lyon. Enseignante-chercheuse et spécialiste de littérature italienne contemporaine, elle a notamment traduit Amelia Rosselli, dont elle a publié, aux éditions Ypsilon, Variations de guerre (2012) et la Libellule (2014), ainsi qu’une édition des Écrits français (Ypsilon, 2015). Ses autres traductions de poésie ont paru en revue (Mariangela Gualtieri pour Terres de femmes, Cosimo Ortesta pour Thauma, Fiston Mwanza Mujila et Christophe Manon traduits du français vers l’italien pour la revue italienne en ligne Primo amore). Côté prose, une traduction des récits d’Elio Vittorini aux Edition NOUS (Les hommes et la poussière, 2019), le Manifeste pour un nouveau théâtre de Pasolini (Ypsilon, 2019) et les Dialogues avec Leuco de Pavese (33 morceaux, 2021). En tant que critique, elle a collaboré aux revues Europe, Hippocampe ou Terre de femmes.
Du côté de l’écriture poétique, son premier recueil, Love Zibaldone, a paru en 2019 aux éditions l’Arachnoïde. Elle a également publié en revue (Points de suspension, Guru Guru, Lichen, Voix d’encre, Catastrophes, Venins…), et collaboré à Lyon avec l’équipe de Fabrik, prêtant ses textes en prose au Cinéma préhistorique.
Enfin, une part importante de son énergie est dirigée vers la revue Panthère Première, dont elle a rejoint le collectif en 2018.
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